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LA SOIREE DES ROIS

Quand   les   Rois   sont   dans …   l 'arène   !!!

Ce fut sans doute le premier podium de l 'Histoire.

Même s 'ils ne portaient pas encore de dossards, les Melchior, Gaspard et autre Balthazar le parcours n 'était même pas fléché.  Seule une étoile les avait guidés  jusqu 'à la crèche de la Nativité où était jugée l 'arrivée, où les attendait déjà un certain…  Charpentier  qui pouvait être fier du "bébé" que lui et quelques apôtres venaient ainsi d 'enfanter. Depuis, les Amicoursiens perpétuent la tradition du marathon de …l 'Epiphanie. Tout le monde en sort  en vainqueur, enrichi.  Ici pas de … Fanny, chaque participant apportant sa bonne humeur, s 'amusant à faire rimer amitié avec convivialité  dans la "crèche" du Saint-André. Pas de myrrhe, d 'or ni de bouffées    d 'encens, futiles richesses avantageusement remplacées par un buffet… dansant !

Un "pasti… che 51" en guise d 'apéro.

Une cinquantaine de membres s 'est ainsi retrouvée attablée. Disposé par hasard ou par affinité, certains tout devant, d 'autres dans le fond, fidèles à leur place… dans les pelotons.   En  guise   

d 'apéro, on servi un "petit jaune" de marque aux invités de marque… "Richard" évidemment. Georges lisant ainsi un "pasti… che 51" résumant amicalement pour Michèle et pour lui autant d 'années de vie. Une mise "à la une" bien méritée pour ces petits "ventres jaunes" unanimement appréciés. Elle qui est la plus discrète mais efficace des soutiens… Georges. lui, actuel Président, trésorier par moment, secrétaire par instant, organisateur tout le temps ; recruteur également, animateur passionnément, rocker… de diamant, entraîneur plus sérieusement et bien sur, toujours, écrivain de talent ! (eh, Georges, y reste aussi de la vaisselle en cuisine… avant de sortir le chien !).

Bref, la soirée débutait par un clin d 'œil à deux amis qui courent, deux amis… tout court.

 

Nain dans la … main !

Et la fête a continué. Le buffet était copieux et apprécié, la bière et le vin abondant, Isostar ou Athlon… étrangement absents. Tout comme le pain d 'ailleurs, l 'espace d 'un (long) moment. Heureusement, Nathalie arrivée, comme dans les évangiles, il fut multiplié… ma foi très élégamment !

Mais tout cela n 'était que prétexte à patienter avant LE grand moment de la soirée, la remise en jeu d 'un trophée que le monde du sport nous envie… tout en étant soulagé de ne pas se le voir décerner. Les critères d 'attribution restent mystérieux, disons plutôt … houblonneux car définis en 1664 par l 'Abbé Douze qui a donné son nom au challenge. Ils précisent en tout cas que "l 'heureux" récompensé doit le conserver sur la table de chevet de la chambre à coucher.

C 'est désormais celle de Jean-Claude que le nain d 'honneur va maintenant occuper. Jean-Claude, dit "le Suisse" parce que… suisse! Toujours  "Joyeux", jamais "Grincheux", loin d 'être "Simplet", cet adepte de la "Blanche Neige" où il se révèle être le meilleur des "Profs" méritait bien d 'être sacré.

Avec Opinel,  la Savoie est fière de son célèbre couteau orné d 'une main couronnée. Grâce à Jean-Claude, Amicourse possède son "costaud" suisse désormais d 'un nain… couronné !

Séance sur piste…

Pour finir, le Champagne et les galettes sont arrivées. En morceaux, celles-ci furent découpées… tout comme le nain en fin de soirée !

Puis une séance sur piste se trouva programmée, orchestrée… Certains y firent admirer leur maîtrise du fractionné. Enchaînant en rythme toutes les allures, du tango au rock (pas) sauté, du boogie à la valse… où l 'on se marche sur les pieds. D 'autres préfèrent des cadences moins endiablées, moins "fast", disons, plus… "slow" !

Mais le chrono n 'arrête décidément jamais de tourner, il fut l 'heure de se séparer.

Les Rois étaient tirés et, comme Fernandel le disait de sa Félicie, les Reines… Aussi  !

                       

Didier

 

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